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La pandémie ajoute un grand poids sur les épaules des “néo-célibataires”, ceux qui doivent renaître au monde quand celui-ci semble à l’arrêt…Nous l’avons probablement toutes et tous vécu : la violence psychologique d’une rupture ébranle nos repères émotionnels, physiques, chimiques mais aussi sociaux. Il faut généralement passer par une phase de sevrage de la présence l’autre qui provoque un manque hormonal, mais que les interactions et la vie sociales permettent généralement de compenser…

L’année 2020 a été principalement marquée pour chacun.e de nous par la pandémie de Covid-19. Nous avons fait preuve de beaucoup d’adaptation et réactivité dans nos vies professionnelles, personnelles et familiales. Comment se porte notre santé mentale en ce début 2021, après 9 mois de pandémie? Comment aborder cette nouvelle année, nous projeter, continuer à développer notre capacité de résilience, individuellement et collectivement, alors que de nombreuses incertitudes et inquiétudes demeurent pour les mois à venir?

Si dans l’imaginaire collectif de beaucoup les fêtes sont synonymes de grands moments de réunions familiales ou entre amis, de somptueux repas, de joyeuse effervescence, de cadeaux et de paillettes, il est clair que, pour la plupart d’entre nous, ce Noël et ces fêtes de fin d’année ne ressembleront en rien aux précédents. Cependant, malgré l’ambiance un peu morose de ces dernières semaines, il est important de garder en tête que cette situation est temporaire.

Afin d’attirer l’attention sur les conséquences de la crise sanitaire en termes de santé mentale, une journée d’action se déroule le 10 décembre dans toute la Suisse.